Depuis 2015, sous l’impulsion de l’Union Nationale des Producteurs de Pommes de Terre (UNPT), l’Association Sanitaire pour la Pomme de Terre (ASPDT) en tant que section spécialisée du Fonds de Mutualisation Sanitaire et Environnemental (FMSE) œuvre pour indemniser les producteurs de pommes de terre français en cas de détection d’organismes nuisibles réglementés sur leurs parcelles.
A retrouver dans ce numéro :
L’actualité de la filière avec un retour sur la récolte de 2023, la présentation de nouveaux élus au Conseil d’Administration de l’UNPT, la déclaration FMSE qui fait suite aux plantations et l’UNPT mobilisé pour faire valoir le droit à produire.
Les échos de la plaine avec les témoignages du terrain.
Le spécial UNPT avec un retour sur le 19ème Congrès mais aussi le Salon Pro’Pom.
Le dossier de ce numéro : spécial plants sur les enjeux et perspectives de la filière plants de pomme de terre, l’engagement de l’UNPT pour la sécurisation des approvisionnements, un guide sur les bonnes pratiques.
L’article technique sur la fertilisation en pommes de terre.
L’actualité des interprofessions avec l’intervention du CNIPT et du GIPT.
Le 1er février dernier, Gabriel Attal, le Premier Ministre, détaillait sa feuille de route agricole, en érigeant la lutte contre les surtranspositions comme 6ème grand objectif de ce plan global.
Ses termes étaient clairs, les objectifs non équivoques : « Pas d’interdiction sans solution, c’est l’engagement du président de la République depuis 2017, nous le tiendrons […] Nous sortirons d’une situation où notre agence sanitaire se prononce sur des produits sans coordination avec le régulateur européen. Interdire en France des produits alors même que la procédure est en cours au niveau Européen, ça n’a pas de sens. Les agriculteurs Français seraient les seuls à faire l’objet de cette interdiction, nous mettrons fin à cette situation. ».
Au cours de la saison 2023, les producteurs de pommes de terre ont été confrontés à des conditions climatiques difficiles, à une forte
pression des maladies et à une augmentation des coûts. Le NEPG
estime qu’environ 11.000 hectares de pommes de terre sont définitivement irrécupérables et qu’un minimum de 650.000 tonnes ont été perdues (dans les champs ou après la récolte). En raison d’une offre réduite de plants, le début de la nouvelle saison de culture 2024 présente déjà de grands défis.
Union Nationale des Producteurs de Pommes de Terre
45 rue de Naples
75008 PARIS
01 44 69 42 40